Interview : William Aliotti nous parle de Saint-Martin
"Quand c'est ON ici, c'est ON toute la journée. On n'a pas de problèmes de marées".
10/06/2021 par Marc-Antoine Guet
Entre les eaux de l’Atlantique et de la mer des Caraïbes : Saint-Martin. Une île atypique grande seulement de 93 kilomètres carrés. Pourtant, malgré sa petite taille, l’île abrite de nombreux spots de surf qui méritent clairement le voyage.
À 7h40 de vol de Paris, la « Friendly Island » comme on la surnomme, émerge au cœur de l’arc antillais est se divise en deux parties : le nord est français et le sud est hollandais.
Une île que connaît bien William Aliottipour y être originaire. Il y a quelques jours, nous avons pu le rencontrer non loin de chez lui dans les Landes afin d’échanger un peu sur cette destination qui fait rêver.
« J’ai grandi ici, j’y ai passé la moitié de ma vie. C’est un endroit où tu peux surfer en boardshort. J’aime bien revenir ici pour y reprendre des forces. On a quelques vagues, beaucoup d’alizés, beaucoup de vents qui ramènent pas mal de vagues. C’est ici que j’ai tout appris dans les airs. Quand c’est ON ici, c’est ON toute la journée. On n’a pas de problèmes de marées ou quoi que ce soit. On n’a pas beaucoup de passage non plus, donc quand c’est ON, c’est tout pour nous ! »
Nous avons réalisé la même vidéo avec Maud Le Car (voir ci-dessous) mais aussi Joan Duru pour que les deux Français qui connaissent bien l’île nous donnent aussi leur avis.
Après l'assassinat de ses parents, le jeune guinéen de 16 ans a connu le travail forcé, la maltraitance, la séquestration et la torture. Il raconte le périple de sa vie et comment ces épreuves l'ont mené à se lever sur une planche de surf.
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