L’histoire de Tom au Mexique c’est un peu le trip de votre vie que tous le monde vous demande de raconter mais que vous n’arrivez pas à expliquer. « Fallait y être pour comprendre ». Avec « Free Scrubber », Rip Curl et Tom Curren nous proposent à la fois un film de surf, une comédie, un récit de voyage entre potes et une exploration.
Au début de l’année 2020, alors que le monde s’enfermait dans les prémices de la pandémie de Covid-19, Rip Curl a appris par Tom Curren qu’il se rendait au Mexique avec son vieil ami Buggs Arico pour surfer et éviter le carnage qui se déroulait aux États–Unis. Maladie, émeutes, protestations… Comme souvent, Tom a pris l’océan comme un moyen de donner un sens à tout cela.
Rip Curl – « Nous ne savions pas trop où il allait nous mener. Peu après, ils nous ont fait savoir que le photographe australien Andy Potts s’y rendrait aussi et qu’il photographierait tout ce qui se passerait sur une période de 6 semaines – bien que cela aurait pu être plus long. Personne ne comptait vraiment, car les vagues se mêlaient aux jours et les jours se mêlaient aux vagues ».
Au cours de cette période, la marque australienne a eu des contacts sporadiques avec l’équipe, parfois de la part d’Andy qui essayait de rentrer chez lui et de retourner en Australie et aux États–Unis, d’autres fois de la part de Tom lui-même pour leur souhaiter bonne chance quand les choses semblaient incertaines et pour parler de surf. Tom tel qu’on l’aime, libre du haut de ses 56 ans.
« Nous savons que Tom a beaucoup travaillé sur les planches et la conception de nouvelles dérives, utilisant cette longue droite mexicaine comme laboratoire de recherche. Il a également joué beaucoup de musique, dont une grande partie apparaît dans le film ».
Le solo de clavier « Buggsy’s Nose Ding Lament » est un classique, et il a composé lui-même à son retour aux États–Unis le « Free Scrubber Theme », un morceau mélangeant jazz, fusion et électro. Des chansons qui résonneront dans votre tête lorsque vous surferez après avoir vu le film. D’autres artistes comme les Israeli Chicks, Mylee Grace et les Goons of Doom s’intègrent aussi parfaitement dans le mix.
Le film qui en résulte, « Free Scrubber » – réalisé par Vaughan Blakey et Nick Pollet – réunit tout cela d’une manière inattendue.
Leur but ? Ne pas couper les vagues et laisser le surf couler du début à la fin. Magique.
Ce petit film est une pure merveille ,loin du surf business . Enfin du surf sans aerials !!!
Et en plus une super musique.
Merci Tom .
Chiant, répétitif, faussement cool .
Sinon, cette droite est dingue…