Clay est « l’un des surfeurs les plus uniques et naturellement doués que j’ai vu au cours de ma carrière », précise le cinéaste Adam Klevin, qui suit avec sa caméra le prodige hawaïen depuis ses 14 ans. « Clay est tellement unique », ajoute-t-il, « qu’il est parfois difficile de filmer d’autres surfeurs après ».
Si Clay n’est bien évidemment plus à présenter, il continue d’épater par la façon qu’il a de se différencier. En plus d’avoir un style bien à lui, Clay Marzo arrive à faire des étincelles dans des endroits où peu de surfeurs oseraient s’aventurer. Non pas qu’il surfe des lieux plus dangereux (quoi que), mais l’Hawaïen aime bien se retrouver seul. Et aujourd’hui, avec l’augmentation exponentielle du nombre de surfeurs, pour surfer seul, soit on s’appelle Kelly et on dispose d’une piscine à vagues dans son jardin, soit on ose s’aventurer là où les autres ne veulent pas aller. Et c’est exactement ce qu’a fait Clay Marzo dans ce dernier édit tourné au mois de décembre.
L’Hawaïen de 31 ans rend agréable à regarder une vague qui nous a pourtant l’air très difficile à scorer. Mais comme à chaque fois avec lui, la magie opère.
>> Vidéo par Adam Klevin (montée par Shaun Swink) – Musique : Slightly Stoopid
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