Une rame sera aussi organisée samedi à Lille, Pourville, Guidel, Lacanau, Sanary, la Tranche sur mer, le gosier et Marseille.
29/01/2019 par Rédaction Surf Session
«Si tu arrives à bouger les surfeurs pour qu’ils prennent part à une manif, alors tu sais que c’est un mouvement d’ampleur.» David Rastovich, surfeur pro et militant écologiste.
Allez hop ! On se motive, c’est pour la bonne cause. On enfile la combi, les gants et la cagoule s’il le faut mais samedi prochain (2 février), on se retrouve tous à 11h à Saint-Jean-de-Luz (ou ailleurs, voir plus bas) afin de ramer pour la planète.
Partout dans le monde nous, surfeuses et surfeurs, sommes plus que jamais les témoins privilégiés de la fragilité des océans et de la dégradation catastrophique de l’environnement.
Il est temps d’agir, ensemble, pour rendre à l’océan et au surf, les joies qu’ils nous procurent.
Après s’être joint à Alternatiba dans son action à vélo le 6/10/18 à Biarritz, Rame pour la planète (mouvement citoyen) continue tous les premiers samedi de chaque mois avec comme horizon, la réunion du G7 à Biarritz, du 25 au 27 août prochain. L’horizon d’une destination pour avant tout inviter à l’action de tous les jours, message de persévérance, cher au surf. On sait ce que c’est que la nécessité de ramer pour chopper une vague et avoir la banane !
En venant ramer collectivement, on se donne du sourire pour agir individuellement, on rend un peu de ce que l’océan nous donne… et si en plus on peut se faire entendre !
Et si vous n’êtes pas au Pays basque, voilà les endroits où vous pouvez vous rassembler !
Le mois dernier, nous étions du côté de Guéthary pour la première rame de l’année. Les conditions étaient plus que parfaites avec un grand soleil et une mer d’huile. Cette 4e édition fut une belle réussite tant par la météo que par le nombre de personnes présentes. Malgré le froid, les surfeurs avaient répondu présent et de nombreux sourires ont pu être aperçus sur les visages. Un vrai moment de partage et de détente autour d’une même passion et d’une envie semblable, la protection de celui qui nous est cher : l’océan.
Ce samedi, renouvelons l’expérience pour surfer sur le mouvement et montrer que nous pouvons faire encore mieux !
Publié ce lundi, ce 2e volet affirme que la moitié de la population mondiale est d'ores et déjà "très vulnérable" aux impacts cruels et croissants du changement climatique.
A priori, la détérioration des océans ne concerne pas seulement les bobos mais la planète entière.
C’est donc loin d’être nombriliste, et le combat a une portée qui dépasse de très très loin l’échelle de la France.
Il est assez regrettable de mettre en opposition des actions qui ne s’opposent en rien.
A priori, la détérioration des océans ne concerne pas seulement les bobos mais la planète entière.
C’est donc loin d’être nombriliste, et le combat a une portée qui dépasse de très très loin l’échelle de la France.
Il est assez regrettable de mettre en opposition des actions qui ne s’opposent en rien.
Les bobos rament tandis que la France est en colère !