Désolé de plomber votre week-end, mais ces images d’étudiants philippins qui prennent des vagues de déchets plastique dans la gueule alors qu’ils essaient de nettoyer la baie de Manille est vraiment la goutte de pétrole qui fait déborder le vase.
Mais si la houle rend ces images spectaculaires et parlent aux surfeurs que nous sommes, sur le fond rien de vraiment nouveau. Cet été Kelly Slater s’était indigné contre une scène similaire en République Dominicaine.
Avant ça, on avait tous chialé en voyant ces images de vagues et fond marins pourris du coté de Bali.
En France on n’est pas à l’abri, comme le montrent ces images tournées à Hossegor après une tempête l’hiver dernier.
Et au cœur du problème, il y a ces continents de déchets plastique qu’on trouve dans dans l’Atlantique et le Pacifique.
En fait le problème est partout, la pollution plastique a dépassé le cercle polaire et on en retrouve dans les failles océaniques les plus profondes.
13 millions de tonnes de plastoc partent à l’eau chaque année avant de venir dégueulasser nos spots et tuer la faune océanique.
ALORS QUE FAIRE ?
Tant que les solutions comme les vers et bactéries mangeurs de plastique, ou les radeaux et autres bouées de nettoyage n’ont pas encore fait leur preuve, c’est encore aux hommes de se responsabiliser.
80% du plastique retrouvé en mer vient de la terre, alors réduire sa consommation de plastique et tendre vers le zéro déchet semble être un bon début. En tant que consommateur, éviter le suremballage est un bon réflexe, et on peut souvent préférer les contenants en verre à ceux en plastique.
On peut soutenir les associations qui s’engagent pour faire bannir les plastiques à usage unique. En commençant par adhérer à Surfrider Foundation qui a parmi ses prérogatives celle de réduire la présence de déchets dans le milieu marin et la lutte contre les sacs plastique.
Pour agir concrètement on peut participer aux nettoyages des plages organisés, utiliser les seaux plage propre, ou se donner soi même l’objectif une session, un déchet.
Donner un peu de sont temps permet aussi de manifester, par exemple le premier samedi de chaque mois avec rame pour ta planète.
Enfin, suivre et encourager des initiatives comme The Plastic Project qui sensibilise aux dégâts causé par les déchets, ou Trashgo et son odyssée pour la collecte des déchets, permettent de continuer à faire passer le message autour de soi.
Quoi qu’il en soit, dites nous dans les commentaires ce qui vous semble le plus efficace, si vous avez d’autres idées, où si l’on doit désormais se résoudre à bouffer du plastique après chaque canard !
Que les se noient dedans mais regarde avec le COVID toutes les stations balnéaires hurlent pour voir leurs touristes donc cesse d’être juste un pauvre imbécile ecervelê ne crache pas sur ce qui te permet de vivre et surtout n’oublie pas que lorsque toi tu pars en vacances c’est toi le touriste chacun est le touriste d’un autre. Heureusement que très peu de gens pensent comme toi à côté de ça pour penser comme toi il faut avoir un Qi de boulots cuits !!! Gros naze
Que faire ? C’est pourtant simple ! Interdire tous les contenants non-biodégradables à usage unique et interdire les matériaux non recyclables. La bouteille de Coca c’est en verre ou en aluminium. Interdite en plastique ! Le shampooing , on peut le vendre dans les mêmes briques en carton que le lait. Et pareil pour tout le reste. Le tube de dentifrice, dans un tube en aluminium comme pour le concentré de tomate… Il faut arrêter de fabriquer du plastique, tout simplement.
Perso je ne nettoierai pas les plages histoire que les touristes se noient dedans, les autorités se sentiraient davantage concernées. Ou je veux bien le faire a condition de tout mettre devant la prefecture, mais les asso ne veulent pas.
Le nettoyage des plages ne sensibilisent personne, il est fait par des gens concernés.
Et quid des millions dépensés dans ces FO.tues bassine a vague au lieu de les consacré a la recherche dans ce domaine. Les surfeurs sommes bien les derniers a pouvoir donner des leçons.