Vous avez vu les images de la session d’hier à La Nord d’Hossegor ?
Il n’y a pas besoin d’être Cédric Villani ou quelconque autre spécialiste de l’analyse mathématique pour déduire que s’il y avait plus de 3m sur les beachbreaks français, ça devait bien taper aussi un peu de l’autre coté de la frontière.
Et puisque l’offshore était aussi de la partie sur le remontant, les tunnels basques s’offraient à ceux capables de gérer le monde qui grouillait, le drop avec le vent qui s’engouffre sous la planche, et les sections de lèvre qui tombaient comme des guillotines !