Tom Cloarec : « Ça fait quatre ans que je viens, j’aime bien cet endroit. Néanmoins en séries, la vague est dure à surfer. Il faut savoir attraper les meilleures vagues et être constamment dans le rythme. Tout est une question de choix car, lors de journées comme aujourd’hui, la fréquence est faible et chaque décision compte. »
Nelson Cloarec : « Des droites sur un pointbreak il n’y en a pas souvent sur le circuit QS, ça me plait. L’important, c’est de trouver la vague qui a du mur, afin de s’exprimer au maximum. Parfois, tu pars sur une vague que tu juges être bonne et puis elle s’écrase, elle devient inexploitable. En revanche si tu prends celle qu’il faut, avec du mur et que tu vas jusqu’au bord en enchaînant plusieurs manœuvres, c’est bon. »
Nommé Mignot : « Aujourd’hui c’est un peu compliqué, les vagues se forment à droite à gauche, le placement est délicat. Il ne faut pas faire le difficile en attendant la bonne car elle peut ne jamais arriver. Elle est aussi très changeante, il faut bien juger son potentiel avant de partir. J’adore être ici, la bouffe est bonne, la communauté est hyper sympa et l’ambiance est géniale. »
Léo-Paul Étienne : « Le placement est hyper important sur ce spot, les vagues ne déferlent jamais au même endroit. Il faut être dans le bon timing. Quand c’est bon, comme hier, il y a de bonnes sections à se mettre ! »
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Image à la une : Damien Poullenot/WSL.