Il existe des endroits
qui nous font rêver. Pas seulement parce qu’ils sont magiques mais aussi, parfois, parce qu’ils sont inaccessibles. Imaginez, une plage
sauvage sur laquelle seules les barques de pêcheurs lézardent au soleil.
En plus de se trouver tout au bout de la péninsule, le banc de sable de la Sarga offre une droite interminable. Une de celles qui peut dérouler sur des centaines de mètres et qui fonctionne toute l’année. Le tout avec un line-up presque aussi désertique que les dunes qui entourent ce décor. Ce trait d’union parfait entre océan et
lagune est le rêve intime et fou d’Océan Vagabond depuis de nombreuses années. Le
lieu parfait pour laisser libre cours à leur vision vagabonde du surf et de
l’hospitalité.
Un paradis
qui a un prix
Longtemps interdite d’accès, la plage de la
Sarga a nourri durant de longues années les fantasmes de nombreux surfeurs. Le vent, totalement
offshore, la rend glassy et sans fin. L‘appel des vagues et son amour pour l’endroit ont poussé Sébastien Deflandre à braver
l’interdit plusieurs fois et ses efforts ont fini payer. Après de longues
discussions, il reçoit enfin l’autorisation de surfer la vague légalement et
même d’y installer quelques bungalows pour faire rebondir une nouvelle fois l’aventure Océan Vagabond.
Un projet d’écolodge en bois sur pilotis,
intimiste et s’inscrivant dans une démarche toujours plus engagée de tourisme
responsable : énergie 100 % solaire, toilettes sèches, filtration des eaux grises
par les plantes, agriculture biologique locale… Les bungalows sont également beaucoup moins nombreux que sur le site du camp actuel d’Océan Vagabond Dakhla Lagon.
Un rêve de plus réalisé, à découvrir les yeux bien ouverts dans cet endroit authentique et magique, dès décembre 2017.
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