PARTICLES, 3 minutes autour de la puissance de Teahupo’o
Dans la continuité du documentaire True Wave, Alex Poulard sort dans la foulée un édit à Tahiti.
18/05/2022 par Rédaction Surf Session
Début janvier, nous avions eu l’occasion de discuter avec le jeune réalisateur breton Alex Poulard concernant son documentaire True Wave. Un biopic de 52 minutes qui suivait l’espoir Breton Martin Chouraqui, jeune surfeur de 16 ans, vice-champion de France et champion de Bretagne double disciplines. Un documentaire qui aura d’ailleurs une avant-première au Cinéville de Pont L’abbé (29120) en septembre 2022 et sur Youtube le mois suivant.
Mais en attendant, focus sur le dernier clip du jeune réalisateur !
En ce moment, il est vrai que nous passons beaucoup de vidéos de la Polynésie Française et on ne s’en lasse pas ! Il faut dire que c’est le début de la saison. L’eau cristalline, les paysages harmonieux entre montagnes et mer, ainsi que les vagues parfaites donnent aux vidéastes, la folle envie de s’y attaquer. Qu’on soit amateur de glisse ou non.
De passage à Tahiti pour suivre le jeune Breton, Alex Poulard a eu l’occasion de réaliser une session en aqua du côté de Teahupo’o. Dans son clip de 3 minutes, il nous partage les images de cette première rencontre.
Alex Poulard nous raconte son trip
« Actuellement sur le tournage de mon prochain documentaire True Wave, j’ai eu la chance de partir à Tahiti pour suivre le surf trip de Martin Chouraqui pendant 3 semaines. J’ai découvert un des lieux les plus exceptionnels sur terre et j’ai été magnifiquement bien accueilli par les locaux. Là-bas, j’ai eu l’opportunité de shooter en aqua. J’ai reçu mon caisson juste avant le départ, c’était donc mes premières sessions et je dois admettre que Teahupo’o en première session aqua c’est quelque chose.
On ressent une force dans l’eau qui est différente de tous les spots que j’ai pu connaître, et de voir une vague dérouler dans une eau si cristalline depuis le dessous, c’est vraiment majestueux. C’est cette force de la nature que j’ai voulu transmettre dans une vidéo grandement inspirée des dernières réalisations de Morgan Maassen et Ben Thouard.
Les rushs présents dans cette vidéo ne seront pas diffusés dans mon documentaire et c’est pour cela que je me suis permis cette petite folie pendant le tournage. Je tiens à remercierspécialement Antoine Stevignon pour le travail qu’il a fait sur le son. »
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