A 6 ans, Quincy Symonds (“l’écureuil volant”, surnom donné par ses parents) est déjà une star sur la Toile. Après seulement 18 mois de pratique, cette jeune surfeuse et skateuse américaine vivant sur la Gold Coast australienne fait déjà preuve d’une grande habilité sur une planche. Une façon de croquer la vie à pleine pour celle qui souffre depuis sa naissance d’une maladie ne permettant pas à son corps de produire de cortisone et doit recevoir plusieurs injections de stéroïdes par jour. Son coach, qui a déjà entraîné des surfeurs comme Owen Wright, Dion Agius ou Steph Gilmore, la présente comme la meilleure surfeuse et skateuse de 6 ans de la planète. A suivre donc…
C’est tellement typiquement français de tout le temps critiquer… arrêtez un peu de voir le mal partout ! Pourquoi ne pas envisager qu’il s’agit simplement d’une petite qui n’avait pas toutes les chances de son côté et dont les parents sont fiers car elle trouve son exutoire avec le surf.
Je trouve ce genre de vidéos assez insupportables, t’as l’impression de voir ce genre d’émissions où les mecs te trouvent une famille qu’en a bien chié et qui est prête à tout, même passer pour des cons. Lobotomie quand tu nous tiens, faites donc pleurer dans les chaumières et vous vendrez à donc les gars, easy. Tout ça avec la bénédiction imbécile de parents à côté de leurs pompes aveuglés par le star system et toute la soupe vendue avec, et qui vivent peut être (sûrement?) un de leurs nombreux rêves par procuration. Qu’est ce qu’il adviendra de ces gens et surtout de leur gamine quand elle ne confirmera pas d’ici qqs années, ou qu’elle aura réussi à péter un plomb pour n’avoir pas eu le droit de grandir à peu près normalement? Ils seront toujours là les pourvoyeurs de graines de champion? parce que si l’industrie du surf commence à faire ds le social, j’ai du louper quelque chose. Qu’elle surf matin, midi et soir, vacances, si c’est vraiment ça qui l’éclate, qu’elle soit entraînée par des mecs compétents pourquoi pas, mais foutez lui la paix et rangez les caméras les sangsues, les futures séances d’autographes estampillées volcom, quik, rip curl ou autres marques en mal de chiffre d’affaires. Parce que sortir l’artillerie lourde en se servant d’une gamine qui avait mal démarré, je trouve pas ça joli joli et la ficelle me parait un peu grosse. Mais bon, daddy a des trémolos ds la voix et le menton qui flanche, everything’s allright mate. En même, ABC, c’est bien anglo-saxon, non?
C’est bien beau tout ça mais faut se calmer les gars ! C’est génial l’image de la petite fille de 6 ans, « la meilleure surfeuse et skateuse de son âge », qui malgré sa maladie arrive à se débrouiller. Et c’est encore mieux pour l’image de la marque qui va toucher le « gros lot » et la sponsoriser, qui aide un enfant malade à vivre avec sa passion. Faut arrêter avec ces enfants, à l’image d’un Kyuss King qui est également un produit de Volcom, qui profite de tout ça. 6 ans c’est vraiment jeune on en fait beaucoup trop, laissez-la surfer tranquille.