Charly en step-off à Hossegor !

Même le froid ne l'arrête pas sur des journées comme celle-là.

08/03/2023 par Rédaction Surf Session

Si vous n’aviez pas trouvé Charly ces derniers jours c’est normal, il se cachait dans un barrel bien large vers Hossegor. Le jeune landais a trouvé la solution pour éviter de rester trop longtemps dans l’eau froide. Elle consiste grossièrement à grimper sur le jet-ski conduit par ses amis Louis Poupinel et Nelson Cloarec lors de la deuxième journée. Ce fut deux de ses premières sessions jet de l’année et pas des moindres. 

Le mois de février fut particulièrement riche en bonnes vagues dans les Landes. Les images des locaux surfant des vagues parfaites fleurissent partout dans nos fils d’actualité sur les réseaux sociaux. C’est au tour du surfeur de chez Volcom de nous partager les siennes. De bon matin, il quittait le port de Capbreton pour être sûr d’être dans les premiers à se mettre à l’eau. « Mets moi deep, deep, plus deep ! » : ses intentions étaient claires une fois au pic. Charly n’était pas là pour rigoler, il cherchait le plus long barrel possible. 

On a le droit aux deux points de vue, depuis la plage et depuis le fond du tube, grâce à la caméra que Charly Quivront tenait entre ses dents. Vous devez vous demander pourquoi il n’y avait personne à l’eau, alors que les vagues étaient parfaites. Il faisait -1 degré, le froid est un facteur de taille. Personne n’était vraiment motivé à partir à la rame. Ensuite, techniquement, partir à la rame ce week-end là était bien trop dur. « C’était pas forcément très gros, mais il y avait beaucoup de période et ça fermait beaucoup« . Le jet-ski leur a permis de s’amuser le plus possible sans batailler constamment. Enfin, la facilité avec laquelle Charly surfe n’est pas représentative de la difficulté de la session.  

Il était accompagné des meilleurs surfeurs de la région, Benjamin Sanchis, Joan Duru, Marc Lacomare et le jeune Sam Piter étaient présents. Ils étaient une petite équipe de quatre jet-skis lors de cette première journée. Passer 6 ou 7 heures sur le jet à scorer des bombes, on peut appeler ça une bonne journée. À tel point que Charly en a oublié de manger. 

>> Vidéo par Arthur GenieJulien Turpaud et Ted Boutin 

 

             


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