Car avant l’édition parisienne qui aura lieu en septembre prochain, le festival fait cette année une halte à Biarritz et ce, dès la fin du mois, du 29 avril au 1er mai au cinéma Le Royal. L’occasion idéale de découvrir un choix international de films indépendants et inédits inspirés par le surf et le skateboard.
Auprogramme : une sélection de documentaires et courts métrages issue des six éditions du PSSFF, une avant-première, des rencontres et des soirées chez Colors of Surfing, Wall Street Skateshop ainsi qu’au skatepark de Biarritz.
Le Paris Surf & Skateboard Film Festival (PSSFF) est né de la rencontre entre différents passionnés issus des mondes du surf, du skateboard et de l’image. Le PSSFF met à disposition un réel espace qui offre à ces films l’opportunité d’être diffusés mais également d’être davantage mis en lumière. La singularité du festival est de programmer une sélection internationale de films indépendants et rares inspirés de la culture du surf et du skateboard.
Si comme son nom l’indique il a lieu traditionnellement à Paris, cette année, le festival a décidé de lancer une édition à Biarritz (du 29 avril au 1er mai) avant celle qui aura lieu dans la capitale en septembre prochain (du 22 au 25 septembre).
Un festival à ne surtout pas manquer si vous êtes passionnés de surf ou de skate !
et les basques qui viennent vivre à Paris pour Bosser ? Si tous les basques restaient aux pays basques ils y auraient aussi moins de place pour les autres.
Si les basques refusaient de vendre à des prix délirants à des parisiens également ??
Paris/Biarritz, Biarritz/Paris, c’est finalement un peu la même chose compte-tenu de la proportion de parasites, euh pardon parisiens qu’il y a à Biarritz…
et les basques qui viennent vivre à Paris pour Bosser ? Si tous les basques restaient aux pays basques ils y auraient aussi moins de place pour les autres.
Si les basques refusaient de vendre à des prix délirants à des parisiens également ??
Paris/Biarritz, Biarritz/Paris, c’est finalement un peu la même chose compte-tenu de la proportion de parasites, euh pardon parisiens qu’il y a à Biarritz…