Certes on pourra toujours reprocher la longueur de l’édit mais les puristes se raccrocheront à l’intensité que nous livrent ces images brutes, volontairement non montées du monstre californien : Mavericks. On appréciera également, l’absence quasi totale de musique afin de nous plonger encore un peu plus dans l’intensité de cette session du 13 décembre dernier. Et une chose est sûre, ça fonctionne plutôt bien !