Si la première journée de ce swell historique au Mexique frôlait l’insurfable, le jour suivant ressemblait à ce que dont tout chasseur de barrel épais pouvait rêver. Un beachbreak glassy, des murs tendus, de la taille : le bonheur selon Grant Baker. Le Sud-Africain s’est régalé, sortant nombre de tubes, même s’il a encore en travers de la gorge une chute sur ce qui aurait été “le tube de sa vie”. Voilà une bonne raison de continuer à chasser les swells !
Voir aussi : la bombe de Mark Healey le 3 mai à Puerto Escondido, des photos du swell, un best-of vidéo.