Quand on regarde Maverick’s depuis la falaise, on considère déjà sa taille, assez pour frissonner à l’idée de se retrouver sur l’épaule. Le rythme de ce slab n’a rien d’une ballade, et l’engagement demandé pour suivre son exigence est conséquent. Alors un Maverick’s en slow mo, sur un piano mélancolique, c’est d’autant plus jouissif qu’on peut en voir toutes les facettes, toutes les secondes qui se défont, chaque mouvement se déployer. Un édit d’un calme presque dérangeant face au danger évident du spot.