Que ce soit dans la vie de tous les jours ou lors de ses pratiques sportives, le surfeur Dargent enchaîne les nouveaux défis et les performances.
Les premiers mots de cet article furent écrits au début d’hiver 2012. Depuis, il s’en est passé des choses. Durant un hiver méditerranéen qui a tout de même fourni une belle matière aux surfeurs ainsi qu’à Eric, il a pu s’entraîner, progresser et décompresser. Il a glissé avec tout ce qu’il pouvait : de grosses sessions en bodyboard, de minuscules sessions en paddle board et de jolies sessions en surf. Le résultat est bluffant autant d’un point de vue physique que technique, avec à la clé des sessions plus longues, un take-off plus rapide… En résumé, les nouveaux automatismes se mettent en place.
Surfeur d’eau, de désert, de neige…
Les houles méditerranéennes sont souvent des houles courtes qui déferlent sur des dalles rocheuses. Cela produit des vagues très rapides et creuses donc difficiles pour l’apprentissage ou les tests de prothèses. Donc… direction le Maroc et ses houles longues avec de l’épaule et du creux.
Du coup, le surfeur Dargent est vraiment partout : un coup dans le sud au niveau de la mer, le coup d’après en terre montagnarde à 2 020 m d’altitude et -25°C pour le championnat du monde handisnow…
Dites-vous que depuis la parution de l’article, Eric a continué sa progression et s’est lancé de nouveaux défis comme un test matériel en Sardaigne, le syndical trip en pays landais et basque, le roc d’azur à l’automne avec la confection d’une tarte aux quetsches en cas de victoire.
À suivre…
Olivier Drezen
Retrouvez le sujet “La renaissance du surfeur Dargent” dans le Surf Session d’avril.
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