Volcom et Bruce Irons se séparent

La marque au diamant et le surfeur hawaïen mettent fin à leur collaboration après 21 ans d'histoire commune...

21/11/2012 par Romain Ferrand

C’est le genre de collaboration qu’on croyait éternelle, mais toutes les choses ont une fin, surtout par ces temps de crise… Le site Stab a en effet annoncé ce matin que Volcom et son plus célèbre teamrider Bruce Irons se séparaient après 21 ans d’histoire commune. Le surfeur de Kauai avait signé avec Volcom en 1991 – année de création de la marque – à l’âge de 13 ans.

Pour la marque au diamant, la fin du sponsoring du surfeur de Kauai est dans l’intérêt des deux parties : “Bruce a l’opportunité d’un nouveau départ et nous lui souhaitons ainsi qu’à sa famille tout le meilleur pour le futur.

Même si il ne s’agit pour le moment que d’une rumeur, c’est chez la marque Fox que Bruce Irons pourrait désormais poursuivre sa carrière.

Petit frère d’Andy Irons, Bruce s’était qualifié pour le World Tour en 2004 avant de se retirer en 2008. Il continue aujourd’hui une brillante carrière de freesurfeur, et compte parmi les meilleurs big-wave riders au monde. Vainqueur de l’Eddie Aikau en 2004, ses images à Teahupoo ou à Fidji en 2011 avaient fait le tour du monde.

REVOIR :

> Vidéo : Bruce Irons surfe Teahupoo les yeux bandés – février 2012

> Vidéo : Session Code Red de Teahupoo, août 2011

> Vidéo : Swell historique à Tavarua – juillet 2011

> Vidéo : Bruce dans un Puerto Escondido solide – 2010

> Vidéo : Bruce en free surf en Indo – 2010


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4 commentaires

  • Paupiette
    27 novembre 2012 15h18

    Didier piter ,bruce irons …..volcom boit la tasse ou quoi ?

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  • Flux
    26 novembre 2012 9h52

    Restons courtois…

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  • Coco
    22 novembre 2012 23h15

    Tant que c’est que Bruce qui subit la crise tout va bien…

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  • rai
    22 novembre 2012 14h36

    PPR est au surf business ce que la grande distribution est au marché de la tomate… Avant on mangeait des tomates qui poussaient dans un jardin avec du fumier, produitent par des paysans et elles avaient bon gout et elles étaient bonnes pour la santé.
    Aujourd’hui pour suivre les logiques de cout on te vend des tomates importées de PB (rien conre nos amis bataves), élevée en serre, sur de la laine de roche, sous des lampes et nourries aux engrais artificiels…

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