2052 Surfers : science-fiction ou anticipation ?

Un court-métrage qui met le doigt là où ça fait mal en cette journée internationale du Surf.

15/06/2019 par Baptiste Levrier

Passer prendre ses potes et débattre pour trouver un spot où surfer. Jusque là, rien de nouveau à l’horizon, 2052 ressemble à 2019. À part que, déjà, les trois surfeurs partagent les sièges d’une voiture volante. Sur le pare-brise, le surf report s’affiche et, plus que le vent ou la houle, le facteur décisif d’une bonne session en 2052 s’avère être la quantité de plastiques dans l’eau. Des bouteilles par milliers, des micro-plastiques à la pelle, les eaux californiennes aux alentours de San Francisco sont infestées… L’envie de surfer reste pourtant inébranlable. Que faire ? Changer les choses.

Dans ce clip tourné à l’initiative d’Ocean 52, la seule marque de boisson qui consacre 52 % de ses bénéfices à la protection des océans, le signal d’alarme retentit : il s’agit d’un avenir proche, pas d’une extrapolation lointaine. Si l’on poursuit sur notre lancée à balancer 8 millions de tonnes de plastiques chaque année dans les océans, les déchets plastiques seront bientôt plus nombreux que les poissons, les coups de rame toujours plus surprenants et chaque canard sujet à de drôles de rencontres.

A l’occasion de l‘International Surfing Day, Ocean 52 verse donc dans la prospective et tente de changer les comportements : « Si on ne change pas notre façon de consommer, les océans mourront. On a à peine une douzaine d’années pour y remédier. Il n’y a pas de temps à perdre », explique Santi Mier, le CEO d’Ocean 52.

Un message à retenir : « Que le plastique dans les océans devienne une chose du passé, pas du futur ».

> Plus d’infos sur Ocean 52

      


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