Hier on parlait sérieusement de la mobilisation de surfeurs, d’organismes et d’hommes politiques associés pour retrouver l’accès à la mer. Mais en attendant de voir cette bataille porter ses fruits, nous restons dans cette situation ridicule où le surf serait autorisé (pratique sportive individuelle en plein air), mais les plages resteraient fermées après le 11 mai.
Si vous êtes plutôt adeptes des spots d’embouchure, il suffit de vous jeter dans le cours d’eau le plus proche de chez vous, et vous arriverez forcément à la mer. Attention, ne cédez pas à la tentation si vous croisez le mascaret. Celui-ci ne ferait que vous éloigner de la côte !
5 – La plage est en lave
6 – Devenir un surfeur d’eau douce
Si il n’y a pas de lacs assez grands pour surfer en France, il y a toujours les rivières avec leurs vagues statiques, et surtout les mascarets, tellement plus adaptés que les plages à la distanciation physique…
7 – Vive le chlore
Finalement les piscines à vagues qu’on critiquait pour des raisons écologiques nous font de l’oeil maintenant… Mais à moins d’avoir la votre perso (coucou Kelly !), on ne vous laissera pas entrer. Ça n’empêche pas de poser dans son petit bassin bien sûr…
8 – Surfer l’aventure
Ouvrez vos horizons en vous inspirant de cette célèbre pub Jeep : « Les vagues ne sont pas la seule chose sur laquelle je surfe… Je surfe l’air. Je surfe les routes, les chemins et les sentiers. Je surfe la terre, la vase et la boue. Je droppe les flancs des montagnes et je carve dans les vallées. Je déchire des sentiers forestiers, je fais des aérials dans le sable. Je surfe l’océan. Je surfe l’aventure. Je surfe tout !«
9 – Surfer urbain
La ville regorge de sports insoupçonnés. Les sensations de glisse peuvent manquer, mais avec un peu d’application vous deviendrez vite un véritable influenceur sur Instagram !
10 – #SurfALaMaison