*À noter : Cette interview a été réalisée en mars 2023, avant les championnats du monde ISA. Pour quelques raisons techniques, nous n’avons malheureusement pas pu sortir l’interview avant aujourd’hui et les quelques propos obsolescents ne devraient altérer en rien le plaisir que vous aurez sans doute à écouter les réponses d’Aritz à propos de sujets qui, pour la plupart, sont loin d’être dépassés. Il faut simplement avoir à l’esprit que plusieurs mois ont passés depuis les réponses du surfeur, notamment celles qui concernent ses derniers voyages ou ses prédictions à propos des champions du monde 2023.
Nous avions passé plusieurs jours en Suisse, au mois de mars donc, avec Aritz Aranburu, dans le cadre du Freeride World Tour dont l’une des étapes devait avoir lieu à Verbier. Ce fut l’occasion rêvée pour nous de lui poser toutes nos questions et il a pris le temps de se poser avec nous pour y répondre.
Ce qu’il fait quand il ne surfe pas, son pire souvenir de voyage, la plus longue session de sa vie, le heat de ses rêves, la manoeuvre qu’il a mis le plus de temps à maîtriser, une chose qui l’énerve par-dessus tout chez les surfeurs ou encore ses prédictions sur le Tour 2023… Voici certains des sujets abordés avec lui. Nous lui avons également demandé ce qu’il pensait du nouveau format du Tour, ses différentes étapes et le cut de mi-saison. Lui-même pensionnaire du Tour, il est un témoin privilégié des changements qui se sont opérés sur le circuit professionnel.
À 37 ans, le regular voyage toujours autant, que ce soit pour participer à quelques compétitions triées sur le volet ou pour partir en quête de vagues, connues ou moins connues. S’il a ralenti la cadence côté compétition, le surfeur espagnol continue à participer à quelques événements qui attendent de bonnes vagues. Originaire du Pays basque sud, Aritz est connecté à l’océan et aux vagues depuis toujours, une connexion évidente sans laquelle il n’aurait peut être pas remporté tant de victoires.
Discret, humble, disponible et très souriant, le surfeur du team Quiksilver sait faire preuve d’une immense détermination en compétition. Ce n’est pas par hasard qu’il est devenu le premier surfeur espagnol à intégrer le CT en 2008 alors qu’il été âgé de 22 ans, un statut qui fait de lui, aujourd’hui encore, l’un des surfeurs espagnols les plus appréciés, dans son pays et à l’international. Parmi ses très nombreuses victoires, le natif de Zarautz a battu Kelly Slater à deux reprises, un sujet qu’il évoque d’ailleurs au cours de son interview… Son année, très dense, est rythmée par de nombreux voyages, tous animés par une passion du surf intacte après toutes ces années et ce besoin de découvrir des cultures et des peuples nouveaux aux quatre coins du monde.
Bonne écoute !
Une interview en espagnol sans traduction, ni sous titre, présente peu d’intérêt. Au moins indiquez le !
Bonjour, les sous-titres en français sont disponibles, il suffit simplement de les activer dans les réglages. Bonne journée !