Planches cassées : Ibéria recommence

Et c'est au tour de Léa Brassy et de Vincent Colliard d'en faire la douloureuse expérience.

22/11/2017 par Marc-Antoine Guet

Cela commence à faire beaucoup pour IbériaAprès Natxo Gonzalez en août dernier, c’est au tour du surfeur et explorateur Vincent Colliard d’avoir la mauvaise surprise de retrouver sa planche cassée à sa descente d’avion. Alors qu’il revenait d’un trip à Santiago au Chili, il a eu la très mauvaise surprise de retrouver sa planche cassée en deux à son arrivée à l’aéroport de Bilbao en Espagne. Un gun 9’2 tout neuf, shapé par FCD (Fletcher Chouinard Designs), en provenance d’Hawaï et destiné à sa compagne, la surfeuse Léa Brassy. 

Vincent explique pourtant avoir pris soin de bien emballer la planche : 2 sacs de couchage gonflables, 2 tapis de yoga, un autre sac de couchage, une combinaison et des vêtements en tout genre… Ça n’aura pas suffi à la protéger. La planche est arrivée littéralement coupée en deux et avec le tail complètement explosé. Incroyable, quand on connaît la forte pression qu’il faut pour casser une planche de ce gabarit, censée résister à des vagues conséquentes. 

Voici le coup de gueule de Vincent Colliard à son arrivée à l’aéroport de Bilbao :

Un coup de gueule partagé par sa compagne Léa Brassy sur Instagram :

>> On se souvient aussi de la mésaventure d’Alex Gray, qui avait retrouvé 3 de ses 5 planches cassées à son arrivée à l’aéoport de Los Angeles avec American Airlines.   
>> Relire : Comment bien préparer son boardbag (on pourrait rajouter : « Ne pas voyager avec Ibéria »)

    


Tags:



2 commentaires

  • Aloha!
    25 novembre 2017 9h22

    IBERIA? Ne voyagez jamais avec eux si vous transportez une planche… En plus de vous faire payer à prix d’or le transport en soute pour vos boardbags , ils se foutent complètement de leur état à l’arrivée … à croire qu’ils le font exprès.

    Répondre

  • GUItomic
    22 novembre 2017 15h58

    Il semblerait que soit monnaie courante chez Iberia. Mon frère qui a pris cette compagnie pour faire Bordeaux/ Sydney cet été a retrouvé ses boards éventrées pourtant super bien emballées. Au retour, ils ont même réussi à les couper en deux. Clairement, un engin a du rouler sur les planches avec je suis sur un certain plaisir… et un certain acharnement. Après 3 mois de mails, de coup de téléphone intensif ( et d’insultes) il a réussi à se faire rembourser ses deux planches malgré la prise d’une assurance béton…
    Je ne sais pas ce qu’y est possible de faire pour faire comprendre à cette compagnie que leurs pratiques sont intolérables.
    Bon courage à Vincent pour ces futurs démarches avec Iberia.

    Répondre

  • Laisser un commentaire

    Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

    *
    *
    *