Mécanisme : voilà comment fonctionne Teahupo’o

À Chopes les close-outs sont rares, le drop lui, plus difficile que partout ailleurs.

12/08/2022 par Marc-Antoine Guet

Teahupo’o. 

Un nom mythique qui résonne comme un rêve inaccessible pour beaucoup de surfeurs.

C’est surtout l’histoire d’une vague qui arrive des eaux très profondes du Pacifique pour se heurter à un reef à fleur d’eau en quelques mètres seulement. Seule la profondeur à la fin du channel permet aux surfeurs de sortir (le plus souvent) indemne de ce ride aux enfers. Le tube de Teahupo’o est court et la vague n’offre pas de 2e ou 3e section contrairement à d’autres spots comme Cloudbreak. Mais son drop et sa puissance font de cette vague l’une des plus belles et des plus intenses de cette planète. Les close-outs sont rares, le drop lui, plus difficile que partout ailleurs

Ici, les surfeurs surfent sous le niveau de la mer sur un récif peu profond avant d’être rejetés dans la passe. En plus d’être une vague ultra technique, Teahupo’o est surtout en ce moment le dernier terrain d’affrontement des surfeurs encore en course pour accéder au Top 5 synonyme de finales WSL (à Trestles). Et pour la première fois depuis 16 ans, les femmes sont de la partie !

Écoutez Joe Turpel vous décortiquer les mécanismes de cette vague emblématique, alors que le prochain call est prévu pour ce soir 20h heure française. 
>> Vidéo par la WSL

        


Tags:



Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*
*
*