Quid de la probabilité de partager son line-up avec un crocodile pendant une compétition de surf : Peu probable. Quid de la probabilité qu’un de ces préhistoriques reptiles s’incruste A NOUVEAU au pic, quelques jours après, sur la même compétition ? Hautement improbable.
⇒ Malheureusement pour les compétiteurs en lice de l’Essential Open, c’est pourtant l’improbable qui s’est passé avant-hier au Costa Rica. Rappel des faits : 5 jours avant, un croc de plus de 2 mètres avait fait irruption au line-up, s’approchant dangereusement à 2 reprises d’un jeune surfeur californien.
Et bien ! Cela s’est passé à nouveau : alors que le surfeur Tales Rodrigues surfait sa série du round 6 [face à Noe Mar McGonagle, Luke Dillon et Ethan Ewing], il a soudain aperçu le reptile. Le Brésilien raconte brièvement la scène au Sydney Morning Herald : “Je venais de terminer ma vague et je ramais fort pour revenir au pic. C’est là que j’ai aperçu les remous dans l’eau.” Très secoué, le surfeur poursuit, “il faisait la taille de ma planche. Je n’ai pas de mots pour décrire ce que je ressens, c’était vraiment terrifiant.”
Apparemment héroïque par sa rapidité de réaction et malgré le choc, Tales Rodrigues alerte alors immédiatement l’équipe de la water patrol qui parvient illico presto à faire évacuer le line-up, sans que la situation ne s’envenime. Avec 2 signalements de présence d’un crocodile dans la même semaine et sur le même spot de compétition, les responsables de l’évènement ont alors pris la décision judicieuse de mettre en stand-by pour la journée.
L’Essential Costa Rica QS3000 a quand même repris le lendemain, sans mauvaise rencontre cette fois, mais avec des athlètes apparemment [et bien logiquement] à bout de nerfs. Ethan Ewing s’impose chez les hommes. Silvana Lima chez les femmes. La bonne nouvelle : Pauline Ado termine deuxième, et pointe maintenant à la 7ème place du QS ! Quant au renouvellement du QS costaricien l’année prochaine : on est moins optimistes.
En voilà un de commentaire (David) qui fleure bon le « conseilleur pas payeur ». Commentaire inepte qui exhale un doux parfum d’écolo de salon qui confond protection de la vie animale et misanthropie 2. 0. Pour ton info : l’homme est à sa place partout où il peut aller, dans le respect de son environnement évidemment. Il n’y a pas d’un côté les « gentils » animaux « qui sont chez eux d’abord » et les vilains êtres humains qui sont indésirables partout. Et quand une espèce animale non protégée prend un peu trop ses aises et commence à menacer l’homme, à l’attaquer,, on la régule, point barre. C’est comme ça depuis que l’homme est homme et ceux qui proposent aux autres (bien sûr car être généreux avec la vie de ses contemporains, c’est très cool mais avec la sienne c’est déjà plus couillu)de s’autorétrograder dans la chaîne alimentaire aillent se faire voir chez les grecs ou bien nous montrent l’exemple en allant faire offrande d’un bout d eleur carcasse à je ne sais quel « dieu poisson » ou reptile à la con.
Un surfer réunionnais qui a eu sa dose d’écolo-bobo-urbain-misanthrope à 2 neurones.
Voilà un commentaire qui a du bien faire plaisir aux surfeurs réunionnais..
Ben oui, croiser un requin où un croco au peak ça fout les jetons et ça ne participe pas à « la magie de la session ».
C’est certain qu’il est bien plus facile de faire le mariole quand on n’est pas exposé au risque..
Ils commencent à être chiant ces requins et ces crocos…. On peut plus organiser des compet’ où on veut maintenant… En parlant de ça, je propose une étape sur Pororoca avec une vache sacrifiée à chaque round pour les piranhas.
Quoi ? ils faut tuer aussi tous les piranhas ou mettre des filets ?
Ok pas de problème…
Le surf prend vraiment la bonne direction, y a pas à dire , les piscines à vague vont presque être la solution