Il lui a été demandé point par point, ce qui fait les particularités techniques d'un gun, du nose au tail.
10/03/2020 par Marc-Antoine Guet
Quel est le point commun entre Natxo Gonzalez, Axi Muniain ou encore Grant « Twig » Baker ? Leurs guns sont tous shapés par le même homme : Axel Lorentz. À 48 ans, celui qui a terminé 2e de Stab in the Dark l’année dernière avec Mick Fanning (derrière Britt Merrick) façonne des guns depuis une quinzaine d’années au sein de l’entreprise Pukas qu’il a rejoint en 2012.
Le surf de grosses vagues, un domaine dans lequel Axel désormais excelle. Lors dela dernière édition du Nazaré Tow Surfing Challenge, les compétiteurs ont été prévenus 48 heures à l’avance et n’ont pu voyager avec leur matériel. Ainsi, solution de proximité oblige, Billy Kemper, Francisco Porcella ou encore Cristian Merello ont décidé de s’équiper des modèles construits au Pays Basque pour s’aligner sur la 3e édition de l’événement portugais. L’occasion donc de revenir sur le savoir-faire du shapeur français.
« Ce n’est plus comme avant. Aujourd’hui, les gars essaient de vraiment exploiter la vague », précise Axel Lorentz dans la vidéo.
De par son expérience, sa maîtrise technique et ses connaissances en matière de shape, il lui a été demandé point par point à l’atelier Pukas, ce qui fait les particularités techniques d’un gun, du nose au tail.
Tristan Mausse revient sur son histoire, ses voyages, son expérience en matière de glass et de ponçage, le displacement hull et son propre label de glass.
MR nous explique notamment pourquoi, pendant ses années sur le Tour, il surfait en twin sur 90% des épreuves, préférant le single pour les 10% restants (Hawaii).
Génial, tout est dit, sauf peut-être sur la forme du rail qui favorise la pénétration de l’eau pour accrocher dans la face et carver. Transition toute trouvée du coup sur cette petite boulette de transcription, c’est le ‘vee’ qui facilite le rail to rail, pas le ‘vide’. C’est bon, c’est dit, j’me casse : ) Big up Monsieur Lorentz !
Génial, tout est dit, sauf peut-être sur la forme du rail qui favorise la pénétration de l’eau pour accrocher dans la face et carver. Transition toute trouvée du coup sur cette petite boulette de transcription, c’est le ‘vee’ qui facilite le rail to rail, pas le ‘vide’. C’est bon, c’est dit, j’me casse : ) Big up Monsieur Lorentz !