Shapeologie est un podcast dédié au surf, aux planches et aux métiers du shape. Entre autres shapeurs et personnages du monde du shape Lucas, l’initiateur du projet, a reçu Tristan Mausse à son micro. Ce dernier shape sous le nom de Fantastic Acid, à Anglet, au Pays Basque, où il a également développé son propre label de glass, Atlantic Vibrations, le glass étant son métier initial. Nous avions d’ailleurs franchi les portes de l’atelier de Tristan en début d’année, pour échanger avec lui sur son travail, ses influences et son approche du métier de shapeur.
Lucas a longuement échangé avec le shapeur originaire de La Rochelle sur son histoire, ses voyageurs, son expérience en matière de glass, de ponçage à travers le monde et en France, ainsi que sur ses planches si particulières, les displacements hulls. Un échange riche qui a donné lieu à deux épisodes que voici.
Partie 1
Partie 2
À propos de Shapeologie podcast
Le podcast Shapeologie est entièrement dédié au surf, aux planches et aux métiers du shape. Son créateur et animateur, Lucas est passionné de surf depuis l’enfance. S’il n’est pas shapeur lui-même, il s’intéresse aux planches depuis plusieurs années maintenant. « Je suis toujours passé par mon shapeur local, j’ai donc toujours été sensible au rôle qu’il joue, à la plus-value des planches sur-mesure, sans pour autant comprendre les spécificités du shape, que ce soit en matière de planches ou de métiers » explique Lucas. C’est pour cela que ce dernier a voulu donner la parole aux artisans français et internationaux du shape, mettant ainsi en lumière leur travail, leurs différents métiers et leurs pratiques diverses. « Je suis très inspiré par les podcasts Surf Splendor et Impact Zone, je pense que le podcast est un format qui peut être long, ce qui se prête bien à la discussion avec les différents shapeurs » poursuit-il.
Récemment, Lucas a réalisé quelques interviews en anglais, avec des shapeurs en résidence au Shapers Club House à La Rochelle, mais il souhaite toujours conserver un lien avec la France où le français. « C’est un projet amateur, que je mène en parallèle de mon travail, qui n’a malheureusement rien à voir avec le surf, je suis architecte à Bordeaux, ce qui explique le peu d’épisodes et la fréquence assez aléatoire des sorties » conclut Lucas.
