Direction pour ça la Walkers Reserve. Une réserve écologique située sur d'anciennes terres minières et qui utilise la permaculture pour redonner un équilibre écologique.
06/05/2020 par Marc-Antoine Guet
Le navigateur Loïck Peyron disait du voyage que « le plus beau, c’est sans doute celui qu’on n’a pas encore fait ! »
Pour notre part, nous avons eu la chance en novembre dernier de nous rendre sur l’île de la Barbade. Car niveau vagues, l’endroit a de la ressource. Grâce notamment à sa position géographique excentrée par rapport au reste de l’archipel des Antilles, qui lui confère une meilleure exposition face aux différents swells mais aussi grâce à sa géologie.
Place aujourd’hui au 4e épisode de notre web-série qui en contiendra 6 : reconnection avec la nature.
Direction pour ça la Walkers Reserve. Une réserve écologique située sur d’anciennes terres minières. En utilisant le système de permaculture, cette réserve a pour but de redonner un équilibre écologique à l’endroit et cela passe notamment par un programme de plantation d’arbres : le fameux « one tree for every bajan » (un arbre pour chaque Barbadien).
L'occasion de voir le Morbihannais surfer la planche Pukas, planche passée pendant un an de mains en mains et de surfeur en surfeur sur plusieurs spots de France.
Après l'assassinat de ses parents, le jeune guinéen de 16 ans a connu le travail forcé, la maltraitance, la séquestration et la torture. Il raconte le périple de sa vie et comment ces épreuves l'ont mené à se lever sur une planche de surf.