Biarritz : fermeture des plages vendredi et samedi

Les grosses conditions et les gros coeff' attendus ne permettront pas la distanciation sanitaire sur les plages du Miramar, du Port Vieux et de la Grande Plage.

20/08/2020 par Rédaction Surf Session

« Les conditions météorologiques et maritimes de ces prochains jours ne permettant pas de garantir le respect des règles de distanciation physique sur certaines plages, la Ville de Biarritz fermera l’accès aux plages du Miramar, du Port Vieux et de la Grande Plage ». Voilà ce que l’on peut lire sur le site de la Mairie depuis ce midi. 
Si vous aviez prévu de parfaire votre bronzage sur Biarritz, vendredi et samedi après-midi, il ne faudra pas compter le faire sur le sable du Miramar, du Port Vieux et de la Grande Plage. Rassurez-vous, ce n’est pas encore la deuxième vague de confinement qui pousse la Mairie à interdire l’accès aux plages mais des conditions solides mélangées à de gros coefficients.

En effet, un coefficient de 104 et une houle annoncée à plus de 2 mètres viendront recouvrir (un peu comme en hiver) la quasi totalité des bancs de sable des plages biarrotes demain et samedi. Le peu de plages restant combiné à l’afflux des très nombreux touristes habituels sur les plages de la Grande Plage, du Miramar et du Port Vieux, ne permettront pas d’assurer le respect des gestes barrières. La Mairie a préféré anticiper. 

« Dans ces conditions et vu que les mesures d’hygiène et de distanciation physique ne pourront être respectées, l’accès sera fermé à toutes personnes lors des marées hautes, à l’exception des activités nautiques qui restent autorisées dans les zones concernées ».

La Mairie a donc annoncé la fermeture des trois plages biarrotes le vendredi 21 août de 16h à 22h et le samedi 22 août de 17h à 23h. Soit demain et après-demain. 

Bonne nouvelle, l’accès à l’eau n’est lui pas prohibé. Avec de telles conditions pas besoin de plage, si vous en avez le niveau, votre place est au line up. Soyez néanmoins prudents et respectez vos limites. Les conditions n’auront rien à voir avec ce que Biarritz a connu ces derniers jours. 

>> Par Julen Bordachar        

      


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