La plus grosse vague de l’année
– Ross Clarke-Jones à Nazaré le 18 janvier
– Rodrigo Koxa à Nazaré le 8 novembre
– Kai Lenny à Jaws le 14 janvier
– Benjamin Sanchis à Nazaré le 18 janvier
– Sebastian Steudtner à Nazaré le 18 janvier
Le ride de l’année (125 000 $)
– Ross Clarke-Jones à Nazaré le 18 janvier
– Ryan Hipwood à Jaws le 28 octobre
– Kai Lenny à Nelscott Reef le 29 novembre
– Sebastian Steudtner à Nazaré le 18 janvier
– Ian Walsh à Jaws le 28 ocotbre
La plus grosse vague prise à la rame (30 000$)
– Lucas Chianca à Nazaré le 4 janvier
– Lucas Chianca à Jaws le 14 janvier
– Nathan Florence à Jaws le 14 janvier
– Aaron Gold à Jaws le 13 janvier
– Aaron Gold à Jaws le 14 janvier
Le tube de l’année (10 000 $)
– Grant Baker à Jaws le 14 janvier
– Mick Corbett à The Right
– Tyler Hollmer-Cross à Shipstern Bluff le 25 juillet
– Billy Kemper à Jaws le 27 octobre
– Ian Walsh à Jaws le 28 octobre
Le wipeout de l’année (5 000$)
– Andrew Cotton à Nazaré le 8 novembre
– Billy Kemper à Jaws le 28 octobre
– Coco Nogales à Puerto Escondido le 31 juillet
– Eli Olson à Jaws, Maui le 13 janvier
– Owen Schultz à Nazaré le 18 janvier
La meilleure perforamnce féminine de l’année (15 000 $)
– Justine Dupont (Seignosse, France)
– Paige Alms (Haiku, Hawaii, USA)
– Maya Gabeira (Rio de Janeiro, Brazil)
– Keala Kennelly (Haleiwa, Hawaii, USA)
– Bianca Valenti (Mill Valley, California, USA)
Les Français à l’honneur
Parmi les nombreux Hawaïens, nos Français sont présents ! 2 en particulier :
Benjamin Sanchis est nominé dans la catégorie du Quiksilver Airlift plus grosse vague, pour la bombe qu’il a scoré à Nazaré le 18 janvier dernier. Et Justine Dupont est quant à elle nominée dans la catégorie de la performance féminine de l’année. Cela récompense son hiver hallucinant effectué du côté de Nazaré où la Française a clairement franchi une nouvelle étape, devenant l’une des références mondiales de la discipline chez les femmes.
Mais n’oublions pas Ross Clarke-Jones et sa grosse mésaventure dans les rochers de Nazaré et qui aurait pu connaître une fin beaucoup plus tragique. Vivement l’hiver prochain !