Pierre Rollet, tenant du titre, termine 2e au terme d'une finale où les 10 sont tombés autant que les bombes !
17/12/2019 par Marc-Antoine Guet
Comme prévu, c’était gros hier. Très gros. Assez gros pour lancer le Punta Galea Challenge, compétition de grosses vagues organisée au Pays basque espagnol. Et pour cette 14e édition, remportée l’année dernière par le Français Pierre Rollet, des vagues avoisinant les 6 mètres.
Le tout, lors d’une journée hivernale aux températures particulièrement élevées (20 degrés). Probablement l’une des meilleures éditions de ces dernières années.
Dans l’eau, 24 surfeurs. 12 basques et 12 surfeurs internationaux. Parmi eux, certains étaient il y a quelques jours du côté de Jaws pour le cbdMD Jaws Big Wave Championships. Comme Nic Lamb, tombeur du Basque Aritz Aranburu en 1/2 et lauréat de cette édition ici en 2017.
Pierre Rollet récidive (presque)
Pierre Rollet était lui aussi de la partie. Le Français, vainqueur ici-même l’an passé connaît le spot par coeur. Il y est très à l’aise. Et le Bayonnais n’est pas passé loin de récidiver puisqu’il a décroché cette année la 2e place, derrière le Brésilien Lucas Chianca… l’autre grand protagoniste de la journée. 6e la semaine dernière à Jaws, le fantasque Brésilien est arrivé à temps à Getxo pour s’imposer.
Présent à Hawaii la semaine dernière, présent à Nazaré ce week-end, Lucas Chianca était hier non loin de Bilbao. La vie d’un chargeur pro en 2019.
Lucas Chianca s’est notamment illustré en scorant un 10 complètement fou en finale face à Pierre Rollet, qui a lui aussi réussi à scorer la note maximale! Une finale qui, aux yeux des organisateurs, restera comme la plus belle de l’histoire de cette compétition. Alex Botelho, lui, prend la 3e place de cette compétition malgré un nez cassé.
Le Basque Indar Unanue, récompensé de la plus grosse vague surfée ici-même en 2008 et 2010 ainsi que du meilleur take-off en 2011 décroche la 4e place devant le talentueux jeune sud-africain Fabian Campagnolo.
Une 14e édition qui pour les organisateurs, restera sans aucun doute comme la plus belle de l’histoire du Punta Galea Challenge.
c’est super dommage les formats verticaux de 3 secondes, on ne voit plus rien…
On observe deux tendances complètement opposées: la supra-mégaHD4Kscope 5.1 impossible à lire en qualité maximale, ou les vidéos de réseaux de télécommunication proche des .gif à 300 pixels.
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