Jack Robinson rejoint Volcom et célèbre son arrivée en vidéo

''C'est cool d'être un bon free surfeur et de réaliser des vidéos de dingues, mais le Tour, c'est vraiment là où je veux être''.

23/04/2019 par Baptiste Levrier

L’Australien va devoir coller un nouveau sticker au nose de ses planches. Après avoir remporté le Volcom Pipe Pro en février, c’est tout naturellement que Jack Robinson a rejoint le team Volcom. Puissant et doté d’un talent inné pour les tubes, Jack Robinson est également très à l’aise dans les grosses conditions. Un talent qui s’explique par les nombreuses heures passées à l’eau sur les spots sauvages et hostiles de la West Oz. 


2019 est la quatrième année consécutive de Jack Robinson sur le circuit QS, et on dirait bien qu’Hawaï est son lieu de prédilection pour scorer. Jack a en effet décroché une seconde place au Sunset Open en janvier dernier avant d’enchaîner avec une belle victoire à Pipe en février.
Un excellent début de saison pour le jeune australien qui fait son chemin, toujours avec la même mission : « Mon objectif a toujours été d’être sur le Tour. Je n’ai jamais voulu faire autre chose. C’est cool d’être un bon free surfeur et de réaliser des vidéos de dingues, mais le Tour, c’est vraiment là où je veux être. J’aime affronter les meilleurs et c’est ce que je veux faire plus tard.« 

Actuellement 4e du classement QS mondial, Jack affiche ses ambitions. 



Et rejoindre le team Volcom à 21 ans n’est que le fruit de son travail ! Si on s’étonne de le savoir si jeune c’est parce que Jack est sous les projecteurs depuis très jeune. On l’a vu grandir et progresser à vitesse grand V, notamment à travers ses performances à Teahupoo, Pipeline, North Point et bien d’autres spots tous plus dangereux et renommés les uns que les autres. Gamin déjà, il surfait les gros tubes de la West Oz avec l’assurance des plus grands.
En 2011, Jack faisait son entrée comme le meilleur surfeur de 12 ans de la planète. Avec le temps, il n’a fait que confirmer sa place dans l’élite mondiale. Presque dix ans que Jack Robinson fait parler de lui, et pourtant, ce n’est que le début. 
Il est certain que si le jeune kid australien arrive à adapter son style au format de compétition actuel proposé par la WSL, les Gabriel Medina, John John Florence et autres ont du souci à se faire. Il y a (beaucoup) de talent chez Jack. Un talent qui ne demande qu’à s’exprimer.

                              


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