Petit report photos de la journée d'hier (samedi 13 novembre 2010) quelque part en Pays Basque. Du beau temps, des températures printanières, des vagues... une bonne session d'automne pour David LeBoulch, Florian Foncillas et Loic Erran !
14/11/2010
Dans le sud-ouest, il n'est pas rare que nos amis espagnols se joignent à nous lors d'épiques sessions. Aussi certaines conditions permettent de leur rendre visite à notre tour, surtout lorsque le swell est massif. Quand la météo semble offrir cette opportunité, des convoies s'organisent et tentent leur chance à la manière d'une partie de poker. C'est du tout bon ou du tout mauvais ; Une session magique résultant d'un bon timing ou une demie-journée à cramer de l'essence en s'arrachant les cheveux. Ce jour-là, PV et Paul-Loup Laborde, Adrien Rapp, Jean-Seb Estiennes, Romain Lauhlé et Xavier Leroy n'ont pas perdue leur mise et remportent l'intense satisfaction de surfer Mundaka sous un très bon jour : la preuve en images.
13/11/2010
Photographe landais, Marc Bourel manque rarement une occasion de shooter les bonnes sessions bien de chez lui... la preuve en images avec quelques images récentes !
12/11/2010
Avis aux adeptes de gros surf : Aileen's, la vague parfaite irlandaise qui a éxplosé à la face de la planète surf ces dernières années, a maintenant une nouvelle rivale. Cette dernière a été baptisée "Prowlers" par le crew irlando-britanno-sud africain de riders qui a découvert et ridé le spot pour la première fois lundi dernier (8 novembre). Elle casse sur un reef à 2 km au large de la côte ouest.Sans jamais donner la localisation exacte du spot, les surfeurs, dont Andrew Cotton, avouent avoir attendu cinq ans pour scorer Prowlers dans les conditions idéales. Cinq années avant que le spot soit on fire... en fait, le swell engendré par l'ouragan Tomas a envoyé des vagues de 12 à 15 mètres. Associé à un léger vent, ce swell massif a donc donné lieu à des conditions parfaites pour s'attaquer à Prowlers pour une session historique de deux heures.Al Mennie, pionnier du big wave surfing en Ireland et qui était du voyage à Prowlers avec Richie Fitzgerald (AFS), Barry Mottershead, Jeremy Johnson (Aus), Paul O'Kane et Andrew Cotton (Ire) explique : "Je ne peux pas décrire la sensation lorsque la vague se fracasse sur l'eau... En surfant, tu sens la violence de la vague (...) tout le monde a pris une vague et tout le monde est rentré sain et sauf"
12/11/2010
Après avoir shooté le 3 novembre dernier les plus grosses vagues jamais ridées au Portugal sur le spot de Praia Do Norte, le binôme Garett Mc Namara/José Gregorio (cf article) s'est contenté d'une session d'entraînement à Praia da Villa dans des vagues d'environ trois mètres. La veille, des vagues de 15 à 20 mètres avaient pourtant déferlé à Nazaré mais impraticables compte tenu de la tempête.Néanmoins, Tiago Pires, de retour au Portugal pour préparer sa saison hawaiienne, a rejoint le binôme à Praia da Villa. De même que les bodyboardeurs Nuño Trovaõ et Luis Pereira. La houle tombante, tout le monde a finalement laissé tombé le Jet pour une session à base d'huile de coude, à l'ancienne quoi !De son côté, l'hawaien a laissé le gun pour son stand-up paddle... Mauvaise idée puisque le SUP n'a pas survécu : "C'est ce que j'appelle une bonne session d'entraînement. Hier, Praia da Villa a bien fonctionné. C'était plus petit que prévu mais vraiment intense" a expliqué Garett Mc Namara en pensant à son SUP.Garett Mc Namara, 43 ans, big wave rider reconnu et respecté, est au Portugal dans le cadre de son projet The North Canyon Show. Concrètement, pendant trois semaines l'hawaïen veut tester le potentiel du surf de gros made in Portugal : "Gregorio et moi avons surfé des énormes vagues le 3 novembre. Néanmoins, notre objectif reste la plus grosse droite jamais surfé au Portugal" a conclu Garett Mc Namara.Tout le monde a désormais les yeux rivés sur les cartes météo et le prochain swell qui pourrait arriver la semaine prochaine.
11/11/2010
Les prévisions n'ont pas joué de mauvais tour ce vendredi 5 novembre avec des conditions pour le moins hallucinantes et un Sud Landes en feu... même s'il aura finalement fallu attendre la fin de matinée et la mi-marée pour commencer à voir se profiler ce que certains appellent déjà, LE jour de l'année. Au programme : De la bombe en veux-tu en voilà, des vagues, du soleil et des gros barrels. Dans l'objectif : Manu Portet, Joséphine Costes, Alyzée Arnaud...CLIQUEZ SUR L'IMAGE PRINCIPALE POUR LANCER LE DIAPORAMA.Retrouvez la suite des photos de cette journée sur Novembre on fire : Acte I
06/11/2010
Au réveil, un ciel maussade, triste et glauque se juxtapose à une mer bien farouche. Une seule envie : prendre un bon café au chaud et oublier le surf ce matin. Mais comme à l'habitude, la motivation reprend le dessus et pousse à la recherche du meilleur spot à cette heure de marée basse.Capbreton est le refuge de jolies barriques dès le matin. Puis le soleil s'impose, la mer se clean grâce au vent de terre soutenu et des conditions magiques prennent place sur l'ensemble des spots. Les Landes on fire ! Malgré des pics parfois surchargés, la bonne humeur est au rendez-vous, et cela grâce à ces magnifiques déferlantes qui offrent un tube à chacun de leur passage.CLIQUEZ SUR L'IMAGE PRINCIPALE POUR LANCER LE DIAPORAMA.Retrouvez la suite des photos de cette journée sur Novembre on fire : Acte II
06/11/2010
Le décalage horaire digéré, le quadragénaire hawaiien Garrett McNamara, big wave rider reconnu et respecté, était au Portugal en vue d'un éventuel "Extreme Waterman Challenge". Accompagné par l'ancien triple champion champion portugais, José Gregorio, l'hawaiien s'est d'abord rendu, dimanche et lundi sur le spot de Nazaré pour le premier gros swell de l'automne... pas surfable en raison des conditions météorologiques.Néanmoins, mercredi le binôme, rejoint par le big wave rider français, Peyo Lizarazu, a trouvé des conditions parfaites, avec des vagues avoisinant les sept mètres, un léger vent, du soleil... idéal pour une session d'exploration sur le spot de Praia do Norte. Une chose est sûre : de cette session tow-in, reste des images. Sans doute les plus grosses vagues jamais surfées à Praia Norte et même au Portugal."Lourd, très lourd ! Je suis profondément convaincu que ces vagues font partie des plus grosses vagues que j'ai jamais prises" a expliqué Mc Namara. "J'ai pensé que c'était gros, puissant et dangereux. Maintenant je comprends mieux ce que Kelly veut dire lorsqu'il explique qu'une erreur ici peut-être la dernière ! On a surfé trois pics différents et j'ai adoré les trois. Nous avons encore trois semaines ici et je veux continuer de chercher mais je suis sûr maintenant que c'est l'endroit parfait pour organiser un "Extreme Waterman Challenge" a conclu le big wave rider hawaiien.
06/11/2010
Le moral est au plus bas en cette fin d'octobre après 15 jours de disette. Le froid a déjà pointé le bout de sa wax et le vent s'acharne a dépouiller nos arbres avant l'hiver... Bref, pas vraiment la joie ! Mais comme le dit un vieux proverbe, tout vient à point à qui sait attendre... Il faut juste savoir être patient !L'automne serait donc comme LA saison de la glisse : 1,50/2m, des barriques intenses, du offshore non stop, plus de 20°C à l'ombre, un soleil radieux sans le moindre nuage... telle fût, en tout cas, la belle et longue journée de surf de jeudi dernier (28 octobre) quelque part dans le Sud Landes. Riders : Adrien Rapp, Kevin Olsen, Mathias Maallem, Wade Goodall, Mangiaroti...
02/11/2010
L'ultime étape du O'Neill Cold Water Classic Series a débuté le 19 octobre dernier sur le spot de Santa Cruz en Californie. Le contest ayant pris du retard ces derniers jours,la journée de vendredi était chargé avec pas moins de trois tours au programme.Côté Frenchies, c'est déjà fini ! Le plus jeune des trois Français engagés, Maxime Huscenot, a chuté dès le deuxième tour dans un heat pourtant a priori à sa portée. Ses deux compatriotes, Joan Duru et Alain Riou l'ont malheureusement imité au tour suivant. Duru longtemps leader de son heat, chute face à Matt Wilkinson (AUS), Luke Davis (USA) et Dayyan Neve (AUS) faute d'avoir trouvé une bonne deuxième vague. Alain Riou (4,43 pts), le Polynésien, a lui fait les frais du jeune et talentueux Américain, Nat Young (12,00 pts).Autre fait marquant de la journée de vendredi à Santa Cruz, le forfait de Jordy Smith, actuel dauphin de Kelly Slater sur le Dream Tour. Blessé à la cheville lors d'un match de dodgeball jeudi soir, le Sud Af' n'a pas souhaité reprendre la compétition.Que tout le monde se rassure, plus de peur que de mal visiblement : « Il s'est retiré du O'Neill Cold Water Classic pour prévenir d'autres blessures à la cheville. La blessure n'est pas grave, selon le diagnostic officiel c'est une entorse mineure au niveau de la cheville. Nous voulons juste être sûr qu'il sera guéri à 100 % pour Puerto Rico ». s'exclamera après consultation du médecin Garth Tarlow, Directeur marketing de O'Neill.Sur les terres de Jack O'Neill, créateur de la marque dans les années 50, les spectateurs ont donc pu assister à un heat très relevé malgré l'absence du Sud-Africain. C'est Roy Powers (HAW) pensionnaire du Dream Tour qui remporte cette série devant Raoni Monteiro (BRA). Shaun Candsell (AUS), dernier engagé dans ce O'Neill contest est éliminé mais a de forte chance de garder la tête du O'Neill Cold Water Classic Series.Pour le round of 16 il faudra suivre, les jeunes du circuit pro tels Nat Young, Mason Ho (frère de Coco Ho) ou Kolohe Andino (USA) mais aussi quelques des meilleurs surfeurs du monde, Damien Hodgood, Roy Powers ou Dion Atkinson.
23/10/2010
Même dans le finistère, il y a des fois où tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes ! Un swell solide, un vent offshore, des bancs de sable en grande forme... et même des températures relativement douces (en tout cas pas trop froides !). Une session magique ! Photos par Tom Frey (cf site)
23/10/2010
Ils s'appellent Léo Fioravanti (Italie), Mikey Wright (Australie) ou encore Yan Keoni (Tahiti) et comptent parmi les surfers de 12-15ans les plus prometteurs de la planète. Sur les traces de leurs ainés Julian Wilson, Ry Craike ou Clay Marzo, ces ''mini Guns'' du team Quiksilver impressionnent par leur niveau technique, leur engagement et la variété de leur répertoire. Leur venue en France en ce début d'automne, a donné l'occasion idéale pour admirer ces gamins qui seront, à n'en pas douter, dans l'élite mondiale ASP d'ici quelques années.
23/10/2010