Charly Quivront et Simon Levalois–Bazer viennent certainement
de produire une web série que tout le monde rêve de faire au moins une fois dans sa vie.
Des barrels très engagés partout à travers le monde sur un son psyché, à la
hauteur de la performance du surfeur. Le premier épisode est consacré à son
trip en Irlande. Ce teaser est un avant goût des spots et des vagues shootées. Charly s’est ensuite rendu au Maroc, au Portugal, sur son home spot et d’autres destinations qu’on vous laisse deviner.
Une avant première à Hossegor jeudi 30 mars
Si vous êtes dans les Landes profitez
en. Vous pourrez voir le 1er épisode de la série en avant-première, ce jeudi à Hossegor. On vous donne rendez-vous à 22h au Coolin. La vidéo, quant à elle, sortira sur la chaîne YouTube de Charly lundi 3 avril à 18h00.
Cela fait quelques
semaines que Charly arbore une photo de profil et une bannière
YouTube qui ont du mettre la puce à l’oreille de certains. Mais jusqu’à hier,
aucune promotion n’avait été faite sur le projet. Pas besoin d’en faire des
caisses, les images se suffisent à elles-mêmes. Il n’y a pas une vague dans ce trailer qui ne soit pas dantesque. Que ce soient les barrels, les wipeouts ou les airs, ce n’est pas
un clip routine que nous propose le surfeur.
Charly avait à coeur de documenter davantage ses trips. Il ne souhaitait pas uniquement montrer des raw cuts, mais bien tout ce qu’il y a autour et qui constituent, comme il le dit lui-même, des moments uniques. Lui même a été bercé par des vidéos de trips quand il n’était encore qu’un kid qui rêvait de faire pareil. C’est maintenant le cas ! Et attention, il ne voulait pas rentrer dans un format vlog : « Du pur contenu surf filmé en intrusif sur ce qui se passe autour des sessions« .
Une chose est sûre, Charly et Simon se sont bien trouvés. Ils possèdent une sensibilité artistique commune qui se ressent.
Préparez vos 5/4/3 cagoules, jeudi Charly et Simon vous emmèneront en Irlande, sur des terres où les sessions parfaites se méritent et où le
danger est constant.
>> Vidéo par Simon Levalois-Bazer
